Cette
saison la station tournant au ralenti, très peu de neige ne permettant pas les
skieurs de skier et beaucoup de réflexion sur l’avenir de la station se
manifeste déjà !
Saison 69 et 70
Un nouveau hôtelier reprend les commande mais ça
seras de courte durée, en affait les difficultés de gestion qui s'amplifie le
manque de neige qui commence à se faire sentir et la lassitude de la clientèle
qui préfères les grandes stations des Alpes Maritimes. Faute d’entretient le
bâtiment se dégrade rapidement. L’eau devient de plus en plus la bête noire de
la station, un jour l’hôtelier confondit une fois les bouches d’eau de la
citerne et celle du Mazout. Il s’ensuivit un mélange qui n’amusa personnes.
Depuis la dernière saison, rien ne
vas plus, un conflit se créé entre l’hôtelier et les gestionnaire de la société
sur une question de salaires, l’hôtelier porta l'affaire devant les tribunaux
et le jugement fut rendu qui, confirmé en appel, entraîna la mise en vente de
l'hôtel. Parallèlement, la gérante de la société déposa son bilan. La station
ferme définitivement.
Le problème de l’eau semble avoir été le coup fatal
car aucune solution ne fut fructueuse à ce sujet. D’ailleurs le SIVOM de la
Bruyère lança un projet de créé un lac collinaire de 15 hectares, mai le projet
de verra jamais le jour. Puis plus personnes eu envie de se relancer dans cette
aventure incertaine.
Le site durant les années
1971-1981
En 1971, La ville de Saint-Raphaël rachète l'hôtel
vendu aux enchères, la commune remet le bâtiment en état en 1973, lors de sa
remise en état, le restaurant et sa toiture a été remaniée. Cependant la
station connaît encore un peu de répit jusqu’à la vente au SIVOM de la bruyère
en 1981. En affait les enfants y vont skier, ce n'est qu'un sursis le bâtiment
sert alors pour les colonies de vacance et les sorties scolaires.
Ce pendant le sommet du Lachens deviens un haut lieu
pour les parapentistes, le club de vol libre fraichement créé en 1975. Durant la
belle saison les parapentistes viennent se restaurer sur la terrasse de
l’hôtel.
Le site durant les années 1981-2009
En 1981 l’hôtel est vendu au SIVOM de la Bruyère,
pour être, il est revendu au Sivom
Artuby-Verdon en 1986. Sans avenirs et solution apporter pour sauver la
station, le site par à l’abandon et c’est la fin de Varneige. L’hôtel de dégrade et manifestement des groupes ont
campé sur la terrasse de l’hôtel. Le bâtiment étant trop convoité, le président du Sivom Artuby-Verdon décide de muré les
ouvertures du bâtiment en 1986. Cette année même la société la société GMM (Gimar Montaz
Mautino) est venue désinstaller les deux remonte-pentes pour en faire de ses
pièces de rechanges.
Une nuit durant l’année 1996 le bâtiment fut
gravement vandalisée le restaurent en bois fracassé et l’intérieur piller, à
partir de-là le bâtiment est partit pour être squatté, pillé, tagué, certains
montaient même en voiture pour faire de la récupération. Certains groupes et
trafiquants en ont fait leur refuge.
La fin d’une histoire
Objet de multiples dégradations au point de ne plus
être qu’une carcasse, il deviendra une verrue, véritable danger public. Suite aux négociations entreprises par le département avec
le ministère de la Défense en 2009 pour l’acquisition du « toit du Var » au
titre des espaces naturels sensibles, des discussions débutent avec la
communauté de communes Artuby-Verdon, le propriétaire de Varneige.
Le
département devient le 19 juillet 2012 propriétaire de la bâtisse ainsi que de
la parcelle de 10 000 m2, Le 21 septembre a eu lieu la démolition de Varneige,
le site rendu propre à la nature.
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